Bonjour à tous
Après un déménagement bien prenant me revoilà!
J'espère que l'inspiration reviendra pour prendre la place aux soucis d'une nouvelle vie qui commencent et à ses belles surprises!
Je vous embrasse
Les Amazirts ou bien les Berbères,
Dans leur contrée où règne la misère,
Ont le coeur plein de tristesse
D'endurer un si lourd fardeau
Ils n'ont pas le droit à leur langue.
Ils vivent prisonniers de leur identité.
Certains vont à la mosquée
Même pour prier et supplier
Qu'un jour sera synonyme de délivrance.
Réduits à l'esclavage de l'arabisation
A des lois promues par le roi,
Ces êtres doivent être plus que patients
En toutes ces merveilleuses occasions
Où ils essayent de promouvoir leur libération
Ils sont asservis et souffrent de pénitences.
On veut les éradiquer
Comme une vraie malchance
D'être un jour né Berbère
Ils luttent à leur façon obstinément
Rêvant de pouvoir afficher librement
Leur culture, leur droit et leur histoire.
Je souhaite à ce peuple
Du fond de leur désert
Sans crainte d'être bafoués et martyrisés
Qu'un jour ils pourront vivre Berbères
Je viens d'un pays que tu adores!
Mais tu peux me trouver là tout près de toi.
Je suis une herbe de Soleil
Qui aime être découverte à l'état sauvage.
Cueillie délicatement entre tes mains
J'exhale ce parfum à la fois
Poivré et fleuri.
Je ne combats pas ta fièvre
De désir inavouable pour moi.
Mais je t'enivre de douceur
Corps à corps avec toi.
Tu effeuilles ma peau
Par de tendres baisers.
Après un bain de sueur sucrée sablée
Ou tu mélanges le thé de tes ardeurs
Tu ne peux résister.
La première fois que tu en jouis
Je suis aussi amer que la vie.
Je t'envahis de toute chaleur.
Nous sommes en effusion
Par un jeu de main expert
Où rien n'est pervers.
A la deuxième gorgée
Je deviens aussi douce que l'amour.
Brûlante à souhait
Je captive ton palais où je deviens Reine
Et te remplis de suavité.
Tu me bois jusqu'à l'extase
Apaisante comme la petite mort.
Tu prends le temps comme héritage
Sans aucun remords.
Je suis l'oasis de ton monde intérieur.
Ennui et nostalgie
Se dissipent dans l'oubli
Après une bonne tasse de thé;
Oui, je suis l'amante fraîche
Un homme pour être bien a besoin de faire l'amour.
Une femme doit se sentir bien pour faire l'amour
On peut mesurer l'amour que l'on porte vers quelqu'un à la peur de perdre l'être aimé
Je me couche sur tes paupières
Et tu me livres tes rêves.
Je m'allonge tout contre toi
Et je sens ta peau frémir de moi.
Ma main dans ta main
Semblant d'éternité.
Mes lèvres t'effleurent
Je te respire
Je bois tout ton être
Je t'aspire jusqu'à la dernière goutte.
Sans nul doute
Je t'emporte à tout jamais
Caché au dedans de moi
Mon grand amour vit en moi.
C'est notre secret.
J'ai perdu celui que j'aime.
Il était beau, charmant et enivrant.
Je t'ai aimé à en mourir.
Je t'ai désiré jusqu'au bout.
Il n'y avait que toi dans ma vie.
Le seul qui me faisait rire et sourire.
Le seul qui me faisait frémir
Le seul en qui j'ai mis toute ma confiance.
Tu étais mon tout et mon néant.
Mon abri les jours de tempête.
Je t'ai donné tout mon temps,
Ma vie et de beaux enfants.
Mais tu t'es enfuis dans des rêves bien pervers.
Tu as préféré la légèreté
A la profondeur de nos sentiments.
Tu as pris le chemin des plaisirs de la chair
Pour t'enivrer toujours de nouvelles sensations.
Vers ces belle inconnus
Qui savent t'ensorceler avec des mots doux!
Poésie à double tranchant
Séduire tel est ton credo.
Ecrire ce que l'autre veut entendre.
Ecrire et puis... mentir
Ecrire et puis...détruire!...
Quelle folie de tout anéantir pour des chimères!
